ECOLE DE PSYCHOLOGUES PRATICIENS

UNIVERSITE CATHOLIQUE DE PARIS

23, rue du Montparnasse

75006 Paris



MEMOIRE DE RECHERCHE

En vue de l’obtention du

DIPLOME DE PSYCHOLOGUE


TITRE :

LE DEVELOPPEMENT AFFECTIF DE L’ENFANT INTELLECTUELLEMENT PRECOCE



Effectué sous la direction du Professeur Madame SAINT-AUBIN

Par : Julia Legrand

Promotion : 2004

Option : Psychopathologie

TABLE DES MATIERES



Introduction p.7


Partie théorique

I. Intelligence et précocité intellectuelle p.12

  1. Intelligence, généralités p.12

    1. Définition p.12

    2. Les principales théories de l’intelligence p.13

      1. Du facteur g aux conceptions multifactorielles p.13

      2. Des théories innovantes : Sternberg et Gardner p.14

    3. Le développement cognitif selon J. Piaget p.15

      1. Les concepts fondamentaux p.15

      2. Les stades de développement de l’intelligence p.15

    4. Les tests d’intelligence p.16

      1. De l’âge mental au et Q.I.de développement p.17

      2. D. Wechsler : Q.I. et intelligence globale p.17

      3. Les tests piagétiens p.18

      4. Autres épreuves d’intelligence p.19


  1. La précocité intellectuelle ou le « surdon » p.20

    1. Historique p.20

    2. Définition p.22

      1. Désignation : Précoce ou surdoué ? p.22

      2. Définition quantitative p.24

      3. Des approches divergentes p.25

    1. Caractéristiques de l’enfant « surdoué » p.27

      1. Des capacités cognitives différentes p.27

      2. Une certaine précocité p.28

      3. Le goût des connaissances p.28

      4. La créativité et l’humour p.29

    1. Dépistage de l’enfant « surdoué » p.30

      1. Les outils d’investigation p.31

      2. Impact sur l’enfant et sa famille p.32

      3. Hypothèse d’une mauvaise identification p.33

      4. « Surdoués » et mesures pédagogiques p.34

    1. Origine du don entre génétique et environnement p.35

      1. Les facteurs génétiques et de milieu dans l’intelligence p.36

      2. Le poids de l’environnement dans le « surdon » p.36

      3. L’influence des facteurs génétiques p.37


II. Développement affectif et précocité intellectuelle p.39

  1. Le développement affectif de l’enfant p.39

    1. Le développement psycho-affectif selon la théorie psychanalytique freudienne p.40

      1. Rappel sur les instances psychiques p.40

      2. Les stades pré-génitaux du développement libidinal p.41

    2. Les étapes de l’enfance p.44

      1. Le complexe d’œdipe p.44

      2. La période de latence p.47

      3. La puberté et l’adolescence p.50

    3. Les processus de maturation selon D. Winnicott p.51

      1. Le self et le « faux self » p.51

      2. Les phénomènes transitionnels p.53

      3. Le jeu et la créativité p.53


  1. L’enfant « intellectuellement précoce » p.55

    1. Développement affectif et construction identitaire p.55

      1. La construction de l’image de soi p.55

      2. Les processus d’identification p.57

      3. La situation œdipienne p.59

    2. Les particularités de l’enfant « surdoué » p.60

      1. L’hypersensibilité p.60

      2. L’intolérance à la frustration p.61

      3. La dyssynchronie interne p.62

      4. La dyssychronie sociale p.63

    3. Les mécanismes de défense privilégiés p.67

      1. L’intellectualisation p.67

      2. La rationalisation p.68

      3. La sublimation p.69

      4. Hypothèses explicatives de l’hyper investissement intellectuel p.70

    4. Psychopathologie des enfants « surdoués » p.71

      1. Une certaine fragilité p.71

      2. Les troubles psychopathologiques p.72

      3. La prise en charge p.74

    5. En conclusion p.75


Conclusion p.76


Partie pratique

I.Méthodologie p.79

A) Méthodologie de la recherche p.79

  1. Présentation de la population d’étude p.79

    1. L’école p.79

    2. Présentation de l’échantillon p.80

  2. Présentation de la recherche p.81

    1. Présentation de le recherche aux parents p.81

    2. Rencontres avec les enfants p.82

  3. Les outils d’analyse p.83

    1. L’entretien p.83

    2. Le test Patte Noire p.83

    3. Le test Phrases à compléter p.85

  4. Les méthodes d’analyse p.87

    1. Analyse du test Patte Noire p.87

    2. Analyse du test Phrases à compléter p.89


B) Réflexion éthique p.90

  1. Quelques définitions p.90

  2. Questionnement moral et éthique autour de la notion de « surdon » p.91

  3. Questions déontologiques sur les techniques d’évaluations p.93

  4. Réflexion morale et éthique sur le travail du chercheur p.94


II. Présentation et analyse des résultats p.97

A) Analyse des protocoles du test Patte Noire p.97

    1. Synthèses individuelles p.98

      1. Etude de cas n°1 : Sophie p.98

      2. Etude de cas n°2 : Noé p.101

      3. Etude de cas n°3 : Eric p.105

      4. Aperçus des conclusions des autres études de cas p.109

    2. Etude comparative entre les enfants « surdoués » p.116

      1. Tableaux récapitulatifs des images aimées et des identifications p.116

      2. L’image de soi p.121

      3. Maturité et construction identitaire p.125


B) Analyse des Phrases à compléter p.130

  1. Réactions en situation sociale de stress p.130

          1. Les réactions face à l’autorité p.130

          2. Les réactions face à l’échec p.132

          3. Les réactions face au rejet p.134

  2. Le contact avec l’entourage p.136

          1. Les relations avec l’entourage p.136

          2. La personne préférée p.138

  3. L’image de soi p.139

          1. La représentation de soi p.139

          2. La maturité p.141

  4. L’anxiété p.143

          1. Les inquiétudes p.143

          2. Les causes de souffrance p.145

          3. La culpabilité p.146

III. Discussion p.147

A) Analyse des résultats à la lumière des hypothèses p.148

1. Première hypothèse : les enfants « surdoués » sont moins matures que les autres enfants p.148

        1. Dans le test Patte Noire p.148

        2. A travers le test Phrases à compléter p.150

        3. Conclusion p.154

2. Deuxième hypothèse : le développement affectif des enfants « surdoués » est différent des autres enfants p.157

        1. Un Surmoi écrasant p.157

        2. Une construction difficile des identifications parentales p.158

        3. Une situation œdipienne complexe p.159

        4. Une prise d’autonomie conflictuelle p.161

3. Troisième hypothèse : les enfants « surdoués » sont plus anxieux que les autres enfants p.164


B) Limites et intérêts de la recherche p.166

  1. Les biais concernant le test Patte Noire p.166

  2. Les limites du test Phrases à compléter p.167

  3. Réflexion sur nos groupes d’enfants étudiés p.170

  4. Intérêts et apports de notre recherche p.172



CONCLUSION GENERALE p.173


Références bibliographiques p.178



Annexes p.182

          1. Lettres aux parents p.183

          2. La grille d’entretien p.185

          3. Le test Phrases à compléter p.186

          4. Les études de cas p.187




« Il n’est pas aisé d’être exceptionnel dans son enfance et l’on peut penser que bien des sujets risquent de développer, au nom même de leur qualité intellectuelle exceptionnelle, des difficultés d’ordre affectif qui peuvent peser sur leur avenir »

Duché, D.-J. (1979).

INTRODUCTION



Cette recherche a pour origine un désir d’étudier le vécu affectif de l’enfant, sa manière de ressentir et de gérer une situation particulière ou difficile. Ainsi, je me suis intéressée à diverses populations d’enfants : difficultés scolaires, situation de divorce des parents, problèmes de comportement (…). C’est par la suite, en discutant avec une psychothérapeute travaillant avec des enfants, que j’ai pris conscience de l’importance du « phénomène surdoué ». En effet, un grand nombre de parents étaient en demande d’une passation de test de Q.I. afin d’avoir confirmation ou non de « l’exceptionnalité » de leur enfant. Cette remarque a suscité mon intérêt pour ce sujet, entraînant de nombreuses questions autour de ces enfants et de leur vécu affectif.


Le thème des enfants « surdoués » est très médiatisé aujourd’hui. Il a fait l’objet de plusieurs émissions grand public et d’ouvrages multiples proposant des conseils aux parents. Cependant, il existe de nombreuses confusions et des préjugés autour de ce sujet, que nous allons essayer d’éclaircir dans cette étude.


Nous verrons que la réussite scolaire et le niveau intellectuel de l’enfant sont devenus une préoccupation majeure des parents, à l’heure où la pression sociale de notre société se fait de plus en plus forte. En effet, notre civilisation est basée sur la compétition et le culte de la réussite socioprofessionnelle qui semblent être devenus, depuis les années quatre vingt, le garant d’un certain bien-être.

Ainsi, on assiste à une focalisation sur le développement cognitif de l’enfant. Certains parents tentent de « créer » un enfant « surdoué », d’autres voient derrière ce terme l’explication des divers troubles de leur enfant. De ce fait, les demandes de consultations se sont multipliées avec l’objectif premier d’obtenir le fameux quotient intellectuel.

Quant au système scolaire, il cherche parfois des solutions mais paraît bien souvent inadapté à l’enfant « intellectuellement précoce ». Les mythes et les idées préconçues subsistent, et les enfants en paient souvent les conséquences.


Les représentations autour de ce sujet sont multiples et inadéquates, centrées sur le potentiel intellectuel de ces enfants, au dépend de leur personnalité singulière. Le travail du psychologue est donc délicat et freiné par des parents en attente d’un unique chiffre, puis par une visée égalitaire de l’école. Selon C. Meljac1, il est « de la responsabilité des psychologues d’aider nos concitoyens à se forger d’autres représentations du monde, plus pertinentes et susceptibles de fournir des instruments de réflexion autrement efficaces que les éternels rabâchages autour du miracle des surdoués ».



La vie mentale de l’enfant est caractérisée par une « prédominance de l’aspect affectif dans tous les états et tous les processus psychologiques»2. L’enfant est en prise avec de nombreuses émotions et sentiments qu’il ne maîtrise pas toujours mais qui dominent sa vie.

Ainsi, de nombreux auteurs ont reconnu la correspondance étroite entre le développement affectif et cognitif. Certains parlent de « parallélisme »3 entre ces deux aspects, d’autres d’une « priorité de l’affectif sur le cognitif »4. Quoiqu’il en soit, nous verrons que l’affectivité est primordiale dans la vie de l’enfant et déterminante pour sa vie d’adulte, puisqu’elle est le fondement de sa personnalité.

Chez l’enfant défini comme intellectuellement précoce, l’aspect cognitif est alors sur le devant de la scène. Mais qu’en est-il de son développement affectif  et de ses caractéristiques?


Dans cette étude, nous nous intéresserons à la personnalité entière de l’enfant « intellectuellement précoce », en cherchant à comprendre son vécu interne, ses mécanismes et ses conflits intra-psychiques.

L’hypothèse principale de notre recherche est qu’il existe un décalage entre les capacités intellectuelles supérieures et le développement affectif des enfants « surdoués ».

Ainsi, une première hypothèse est que, sur un plan affectif, ces enfants seraient moins matures par rapport aux enfants du même âge.

Une deuxième hypothèse met en valeur un développement affectif différent des autres enfants : Surmoi excessif, construction des identifications parentales difficiles, prise d’indépendance conflictuelle. De même, l’enfant « surdoué » vivrait différemment la situation œdipienne, l’assumant plus difficilement : de part ses capacités de raisonnement et de compréhension, les sentiments ambivalents de la période œdipienne se vivraient de manière plus angoissante.

Une troisième hypothèse est que ces enfants sont plus anxieux que les enfants « normaux », mais ne le montrent pas ou l’expriment différemment. Ils s’inquiéteraient plus facilement et auraient une perception d’eux-mêmes et une vision de la vie plus douloureuses.


Afin d’étayer nos hypothèses, nous allons développer une partie théorique, étudiant la littérature existant autour des enfants « surdoués », et une partie pratique centrée sur notre travail personnel sur le terrain.


Dans notre partie théorique, nous effectuerons donc une revue des différentes études et écrits effectués sur ce sujet. Ainsi, nous proposerons tout d’abord un bref rappel sur la notion d’intelligence et sur les tests utilisés, puis nous exposerons les difficultés existants autour de ce thème. De fait, nous discuterons des diverses définitions de la « précocité intellectuelle », et du dépistage de ces enfants. Ensuite nous développerons succinctement les origines de cette particularité, entre génétique et environnement.

Dans un deuxième temps, nous centrerons notre exposé sur le développement affectif de l’enfant. Nous étudierons d’abord, à travers différents auteurs, les étapes du développement ainsi que les signes de maturité et d’équilibre affectif. Puis, nous nous intéresserons aux caractéristiques du développement affectif de l’enfant « surdoué ». Nous y exposerons les particularités du fonctionnement psychique de ces enfants. Pour finir, nous évoquerons les troubles psychopathologiques rencontrés par ces sujets.


Dans une deuxième partie dite pratique, nous exposerons, en premier lieu, la méthodologie appliquée dans notre travail de recherche. Après une réflexion éthique sur notre sujet, nous expliciterons la méthode et les outils d’investigation, puis les outils d’analyse utilisés. De même, nous développerons les méthodes d’analyse des tests de notre recherche.

Dans le second chapitre de cette partie, nous présenterons les résultats de notre travail sur le terrain, auprès de neuf enfants dits « intellectuellement précoces », en classe de sixième. Une analyse des protocoles du test Patte Noire, sous forme de synthèses individuelles, sera effectuée. Ensuite, nous recouperons ces résultats à l’aide de l’analyse thématique. Puis nous exposerons une analyse comparative, à partir du test Phrases à compléter, entre notre groupe d’étude et un groupe contrôle.

Enfin, une discussion sera proposée afin de confirmer ou d’infirmer nos hypothèses au regard de nos résultats. Nous conclurons cette dernière partie par une réflexion sur les biais et les limites de notre recherche, ainsi que sur les intérêts et apports de ce mémoire.


Dans un premier temps, nous allons donc tenter d’éclaircir le lecteur sur le principal acteur de cette étude : l’enfant « surdoué ». Et ce, en établissant une synthèse des recherches et écris publiés dans ce domaine.

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3 Piaget, J. (1964). Six études de psychologie. Paris : Gallimard.

4 Zazzo, R., Gratiot-Alphandéry, H. (1970). Les auteurs citent H. Wallon, pour qui il existe une précocité du développement affectif par rapport au développement intellectuel.

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